Alors doucement dans le silence, il entendit encore la voix douce, répétant les vieux mots familiers : « Quiconque reçoit en mon nom un de ces petits-enfants me reçois moi-même ; et quiconque me reçoit non pas moi, mais celui qui m’a envoyé… Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à  manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à  boire, j’étais étranger, et vous m’avez recueilli. »
« Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à  l’un de ce plus petit de mes frères, c’est à  moi que vous les avez faites. »